Ce n'est un secret pour personne, mais même en ces temps de crise, force est de constater que les Espagnols sont les maîtres en matière de fête. Après notre incendie, on avait besoin de se détendre. Réussi. D'abord, toutes les générations s'y retrouvent, du paseo de fin d'après-midi au début de soirée tapas/pintxos, où les plus jeunes côtoient les plus anciens, à la suite de la soirée et jusqu'au bout de la nuit, où les djeuns prennent le pas. Ensuite, tout se passe dans la rue, hiver comme été, sans violence, malgré l'alcool qui coule quand même à flot... Et puis, le lendemain, on retrouve une ville propre, animée encore, et vivante : tout le monde est encore dans la rue... pour remettre ça le soir ! Alors, ce fut le cas à Sitges pour son célèbre carnaval (comparable à celui de las Palmas de Gran Canarias), côté on (défilés magnifiques) et off : tous les gens sortent au restau, dans les bars, dans la rue, déguisés, et pas n'importe comment ! Ici encore, rien n'est fait au hasard et les Espagnols peaufinent de splendides costumes.Voir la galerie de portaits du diaporama (message suivant).
Sitges est un très belle ville, blanche, rayonnante, animée d'une très friendly population gay, ce qui rend l'atmosphère très amicale et ouverte. On se sourit, on parle avec les gens, on partage des tables, le zinc d'un bar à pintxos (tapas basques), et on danse ensemble. Quant à nous, on a fait 2 soirs, dont un avec Lisa et Maxime, déguisés d'abord en année 30 (clin d'oeil à The artist), puis années 70, tendance babas cools. Nous, quoi ? A Sitges, les déguisements phares, parmi d'autres, LMFAO, Cherchez Charlie, Toreros, Mario Bros, hôtesses de l'air, Jésus...
Une vidéo pour l'image et le son.
Une rue transformée en bar-boîte.
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